L'état civil permet de trouver les noms, les dates et les lieux à faire figurer dans un arbre généalogique. Les documents notariés y ajoutent des anecdotes, des émotions – et transforment parfois en amis familiers des ancêtres vieux de plusieurs siècles.
Encore faut-il savoir se repérer dans les fonds notariés. La liste des actes dressés autrefois par les notaires est connue de tous ou presque. Mais aucun ouvrage n'accompagne pas à pas le chercheur, chevronné ou néophyte, pour l'aider à trouver ce qu'il cherche. C'est enfin chose faite avec ce guide : structure pédagogique, schémas de recherche synthétiques, photos couleur explicatives... Un livre à garder près de soi dans les centres d'archives, lorsque l'on sort des sentiers battus de l'état civil pour redonner vie aux ancêtres de son arbre généalogique.

 
12 € Découvrir

 


 

 

Enfants abandonnés, enfants sans père

 

 

La Convention internationale relative aux droits de l'enfant reconnaît à chacun, « dans la mesure du possible, le droit de connaître ses deux parents » et la France admet dans le Code de l'action sociale et des familles « l'importance pour toute personne de connaître ses origines et son histoire ». Mais la pratique est loin de la théorie. L'abandon anonyme ou le silence du seul parent connu bloquent en général l'accès à la vérité. Ce secret mal vécu est source de mal-être sur une, deux, voire trois générations. Plus loin dans le temps, ces filiations ou ces fratries brisées posent simplement des énigmes généalogiques irritantes, qu'on ne sait pas toujours comment résoudre.

Spécialiste de ce thème, Myriam Provence livre ici tous ses conseils de recherche. Avec réalisme bien sûr, car il n'est pas toujours possible de retrouver les filiations manquantes. Mais avec optimisme, car sa connaissance des fonds d'archives et des arcanes de l'Assistance publique lui permet d'exploiter tous les indices à disposition. Si les langues ne veulent pas se dénouer, lever le secret se fait pas à pas, document après document.

 
10 € Voir

 


 

 

D'autres livres pour vos recherches

 

Conserver et classer les papiers de famille

Évoquer les papiers de famille, c'est dans un premier temps penser aux nôtres, à nos paperasses du quotidien. Elles nous semblent d'autant moins importantes qu'elles ne sont pas chargées d'histoire. À l'heure du zéro papier, on souhaite souvent faire le vide. Pourtant des délais légaux obligatoires nous imposent d'en conserver certaines. Encore faut-il les connaître.

Ce guide répond à ces différentes questions, avec des illustrations fonction des documents cherchés.

 

10 € J'en profite

 


 

 

Raconter son histoire familiale

Raconter, c'est d'abord partager. Inutile de raconter votre histoire si personne ne vous écoute. Raconter, c'est aussi bien dire ce que l'on a fait hier qu'expliquer ce qu'était la famille il y a 250 ans.

Ce guide aidera aussi bien ceux dont l'idée d'écrire une histoire familiale germe dans un coin de la tête depuis longtemps que ceux dont le projet est entamé ou patauge.

 

10 € J'en profite

 


 

 

Retracer l'histoire de sa commune

Nombreux sont les généalogistes qui souhaitent retrouver l'histoire de leur commune où ont vécu leurs ancêtres. Les érudits ou les responsables de bulletins municipaux veulent également en savoir plus. Or, il n'est pas si facile de savoir où chercher et comment le faire, tant les pistes que la curiosité peut suivre sont nombreuses : la cartographie, l'étude de l'école, de la mairie, de l'église, des bâtiments publics ou privés, des rues, l'histoire de la population à travers les communautés religieuses, les associations, les corporations, la conscription ou les évolutions administratives au cours des siècles sont autant de sujets de recherche, qu'il est possible d'étudier aussi bien sur un seul que sur plusieurs siècles.

Ce guide pratique vous fait découvrir les richesses des autres services d'archives (départementales, nationales), celles des bases de données (en ligne ou non) ainsi que les possibilités de recherches dans les fonds privés, par forcément inaccessibles au grand public.

 

10 € J'en profite

 


 

 

Bien cordialement,

François Lerebourg, directeur du CDIP