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Membre
Bonjour dans ce tableau Mme Decotignie s'est marié 2 fois
Comment se fait-il qu'ils que les 2 maris ne soient pas sur la même ligne ?
1681846796372.png
 
Parce que vous affichez l'ascendance de Tanguy ; les autres enfants MARCILLE ne sont que les demi-frères/soeurs. Le conjoint Christophe est représenté comme s'il était le conjoint de la descendance de Sabine (ce qui est bien le cas. Cette configuration spéciale est affichée par ce que vous avez coché l'option "Afficher les demi-frères/soeurs des ascendants.
 
Parce que vous affichez l'ascendance de Tanguy ; les autres enfants MARCILLE ne sont que les demi-frères/soeurs. Le conjoint Christophe est représenté comme s'il était le conjoint de la descendance de Sabine (ce qui est bien le cas. Cette configuration spéciale est affichée par ce que vous avez coché l'option "Afficher les demi-frères/soeurs des ascendants.
Merci, mais je ne vois pas où se trouve l'option d'affichage mentionnée !
 
Merci, mais je ne vois pas où se trouve l'option d'affichage mentionnée !
En fait je me suis trompé, ce n'est pas l'ajout des demi-frères/soeurs mais c'est l'ajout de l'ascendance du conjoint. Sur un arbre aussi petit que ce que vous montrez, ces deux options se ressemblent beaucoup.
Cette option se trouve dans "menu Arbres/Paramétrage de l'arbre/onglet Ascendance/Ajout : de l'ascendance du conjoint".
 
En fait je me suis trompé, ce n'est pas l'ajout des demi-frères/soeurs mais c'est l'ajout de l'ascendance du conjoint. Sur un arbre aussi petit que ce que vous montrez, ces deux options se ressemblent beaucoup.
Cette option se trouve dans "menu Arbres/Paramétrage de l'arbre/onglet Ascendance/Ajout : de l'ascendance du conjoint".

En fait je me suis trompé, ce n'est pas l'ajout des demi-frères/soeurs mais c'est l'ajout de l'ascendance du conjoint. Sur un arbre aussi petit que ce que vous montrez, ces deux options se ressemblent beaucoup.
Cette option se trouve dans "menu Arbres/Paramétrage de l'arbre/onglet Ascendance/Ajout : de l'ascendance du conjoint".
je ne comprends toujours pas, voici les éléments cochés et l'arbre à nouveau. les 2 maris de Sabine devraient se trouver, me semble-t-il au même niveau.
En fait je me suis trompé, ce n'est pas l'ajout des demi-frères/soeurs mais c'est l'ajout de l'ascendance du conjoint. Sur un arbre aussi petit que ce que vous montrez, ces deux options se ressemblent beaucoup.
Cette option se trouve dans "menu Arbres/Paramétrage de l'arbre/onglet Ascendance/Ajout : de l'ascendance du conjoint".
je ne vois toujours pas. Les 2 conjoints devraient se trouver au même niveau
 
Fichiers joints
  • arbre agrandi après modification.png
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  • parmaétrage de l'arbre.png
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Dans votre deuxième image vous voyez bien que l'option "de l'ascendance du conjoint" est cochée et que c'es le conjoint 2 qui est choisi donc avec Sabine en personne centrale, c'est Efflam dont l'ascendance est développée (je n'avais jamais vu ce curieux prénom ! ) L'autre conjoint (Christophe) est considéré comme faisant partie de la descendance. Si vous décochez cette option (et enregistrez le modèle) vous aurez les deux conjoints en position "habituelle" en dessous de Sabine.
 
merci problème résolu effectivement.
Pour info Efflam :

Signification du prénom Efflam​


Du vieux breton flamm, « brillant, rayonnant ».
Ce prénom celtique n’a jamais réellement quitté sa région d’origine. Saint Efflam était un prince irlandais marié à une princesse saxonne dès sa naissance. Décidés à rester chastes, ils s’enfuirent tous les deux en Armorique où ils eurent chacun leur oratoire, éloignés l’un de l’autre.
Les Efflam sont fêtés le 12 octobre.
 
Dans votre deuxième image vous voyez bien que l'option "de l'ascendance du conjoint" est cochée et que c'es le conjoint 2 qui est choisi donc avec Sabine en personne centrale, c'est Efflam dont l'ascendance est développée (je n'avais jamais vu ce curieux prénom ! ) L'autre conjoint (Christophe) est considéré comme faisant partie de la descendance. Si vous décochez cette option (et enregistrez le modèle) vous aurez les deux conjoints en position "habituelle" en dessous de Sabine.
parfait effectivement cela marche
pour mémoire

Signification du prénom Efflam​


Du vieux breton flamm, « brillant, rayonnant ».
Ce prénom celtique n’a jamais réellement quitté sa région d’origine. Saint Efflam était un prince irlandais marié à une princesse saxonne dès sa naissance. Décidés à rester chastes, ils s’enfuirent tous les deux en Armorique où ils eurent chacun leur oratoire, éloignés l’un de l’autre.
Les Efflam sont fêtés le 12 octobre.
 
Efflamm est le nom d'un saint breton semi-légendaire du ve siècle (qui a donné son nom au village de Saint-Efflam (en Plestin-les-Grèves dans le Trégor). La chapelle de ce village (où l'on retrouva ses restes en 994) ainsi que la plage portent aussi son nom. Patron de Plestin-les-Grèves, où lui est dédié un gisant, il est fêté le 6 novembre.

Selon la légende, il était accompagné de plusieurs disciples dont les noms se retrouvent dans la toponymie des communes alentour : Kirio, Tuder, Kemo, Haran, Nerin, (ainsi que, selon les versions, Mellec, Kivir, Eversin...).

Une gwerz du Barzaz Breiz a pour sujet saint Efflamm.

Étymologie​

Efflamm, en breton, s'écrit aujourd'hui Efflam, prononcé [eflãm]. Le nom contient soit le vieux celtique « E » (de Esus), « bon », soit un préfixe E, « extérieur à », et flam , « brillant, lumineux ». Son nom le décrit comme personnage rayonnant, couvrant.. Une version féminisée existe par le diminutif "Flammig"1. Une autre version féminine existe, le prénom « Flammenn ». Celui-ci est encore porté aujourd’hui.

Hagiographie​

Selon une tradition tardive forgée par le scriptorium trécorrois au xie siècle afin de légitimer les origines du monastère de Tréguier et les propriétés ecclésiastiques aux alentours2, Efflam serait le fils d'un roi irlandais. Né en 448, marié très jeune à Enora, il fait vœu de chasteté. Un ange l'aide à résister à la tentation, et il s'enfuit en Bretagne (comme de nombreux migrants bretons en Armorique), débarquant à Plestin, dans le Trégor, où il aurait vécu un temps en compagnie de saint Gestin. D'après une autre tradition, il serait venu d'Irlande avec son épouse Enora et auraient débarqué d'un curragh fait de peaux de bêtes tendues sur des lattes de bois au port du Coz-Guéodet3. Ils n'auraient jamais consommé leur union et se seraient consacrés tous les deux à Dieu, dans un ermitage en forêt. Il serait mort en 512.

La légende​

On[Qui ?] prête à saint Efflamm une vie merveilleuse. Il aurait aidé Arthur à se débarrasser du dragon contre lequel il luttait4. Lorsqu'il rencontra en effet le roi Arthur, il poursuivait un dragon. Efflamm fit jaillir une source à Saint-Efflam (en Plestin-les-Grèves) pour le désaltérer, puis pria devant l'antre du monstre, qui alla mourir en se précipitant dans la mer. Son épouse Enora le rejoignit dans un oratoire qu'il lui avait fait bâtir5.

Albert Le Grand a raconté la vie de saint Efflam dans son livre Les Vies des saints de la Bretagne armorique, publié en 1636 :

« … nôtre Saint, avec sa compagnie, passa la mer & vint heureusement surgir à la coste de la Bretagne Armorique, en la baye de sable, qui est entre Toul Efflam & Loc-Mikel, dite communement la lieue de grève, en la paroisse de Plestin, Diocese de Treguer, & leur vaisseau s’arresta vis-à-vis d’un grand roc6, qui est au milieu de la gréve (en terre néanmoins), nommé Hyrglas. Il y avoit pour lors, le long de la gréve, une très-grande forest, de laquelle S. Efflam & sa troupe, descendans de leur vaisseau, virent sortir un horrible dragon, lequel se retiroit à travers la grève dans sa caverne, distante d’environ mil pas de ce roc. »
Albert Le Grand raconte ensuite comment le dragon réclamait tous les ans, la veille de Noël, une proie humaine de sang royal. On la lui apportait à la tombée du soir au pied du Roc'h-ar-laz (la roche du meurtre)7. On lui livrait aussi les enfants morts sans baptême. Saint Efflamm permit au roi Arthur de vaincre le dragon qui se noya dans la baie ou selon une autre version fut enchaîné au large, sous les pierres de l'écueil Roc'h Ruz (Roche Rouge) en face de Plestin-les-Grèves, d'où le monstre vomit son sang8.

Cette légende qui marque la victoire du christianisme sur le paganisme provient probablement, selon Louis Le Guillou, d'une peur due aux noyades des voyageurs dans cette baie assimilée par ses dangers à celle du Mont-Saint-Michel. Balayée par le flot qui monte « monte à la vitesse d'un cheval au galop », elle abritait la grande route royale passant sur la plage de Saint-Efflam à Saint-Michel-en-Grève. La traversée à gué de l'estuaire du Yar alors que la marée s'y engouffrait déjà, avec un courant violent, parce qu'il était resserré par la pointe de la flèche littorale, occasionnait des noyades individuelles ou collectives. Ces accidents ne cessèrent que vers 1840, quand le Yar rompit la flèche près de sa racine pour aller directement à la mer9.

Albert Le Grand poursuit : « Quant à nous, nous quitterons tranquillement la baie de Saint-Efflam par Saint-Michel-en-Grève et rejoindrons Trédrez par la pointe de Beg-ar-Forn. De là nous prendrons le chemin du site du Yaudet, petite forteresse gauloise puis romaine qui servit de débarcadère à Honora, la femme de saint Efflam. »
 
Merci pour ces explications sur le prénom Efflam, prénom digne des personnages des studios Marvel.
 

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