"Tu n'as pas besoin de t'inquiéter pour moi," dis-je. «Vous voudrez peut-être parler à Howie. Papa roula des yeux. À cette époque, Howie était un roi de la fraternité dans une grande université du sud-est et on pouvait compter sur une bite de première classe dans la plupart des situations.
https://bit.ly/3dR1S9Z
«Si votre frère dit quelque chose qui ne va pas», dit mon père, «faites-le moi savoir.
Jenny avait des liaisons de voyage difficiles et fut l'une des dernières à arriver le soir du premier jour de la ré-union. Grand-mère, une bigote de la vieille école, a tenu à l'ignorer. Les tantes et les oncles, pour la plupart, étaient polis mais froids. Les cousins l'ont évitée et ont ricané derrière son dos. Elle faisait un front courageux, mais parfois je pouvais voir la douleur dans ses yeux.
Mon cœur lui faisait mal. Je voulais être le seul à aller la voir et à la serrer dans mes bras et à lui dire que la famille l'aimait toujours, même si elle était psychotiquement bizarre à ce sujet. Je voulais mais je ne pouvais pas. La dernière fois que je l'avais vue, c'était quatre ans plus tôt pendant la phase d'écrasement et la regarder me ramena maintenant à cette époque. J'ai trouvé que j'avais toujours peur de l'approcher. Ou peut-être que j'avais juste peur d'être à nouveau ridiculisé par Howie et le gang.
Le matin du deuxième jour, un groupe de cousins était assis dans le sous-sol de grand-mère, tirant sur la merde. J'aimais ne plus être le petit compagnon. À présent, j'étais le plus grand, même un pouce deux au-delà de Howie. J'étais l'athlète la plus accomplie de la famille élargie et j'avais développé un peu de fanfaronnade et de confiance. À part Howie, les cousins plus âgés me traitaient maintenant avec déférence.
Soudain, Jenny est arrivée. Je me souviens à quel point elle était belle dans un joli short en jean et un débardeur rose, ses jambes longues et magnifiques.
https://hotmyfreecams.com
Beau oui; à mes yeux, probablement la plus belle fille du monde. Mais aussi triste et anxieux et dans la douleur. Mes cousins verraient sûrement cela et lui ouvriraient leurs bras et leur cœur.
"Hé les gars," dit-elle avec une gaieté forcée. J'ai admiré son courage. Il y eut quelques grognements en réponse, puis tout le monde se redressa, attendant comme toujours de suivre l'exemple de Howie. J'étais debout, appuyé contre un mur, tandis que Howie et la plupart des autres étaient assis sur des chaises. J'ai été surpris qu'aucun des cousins masculins ne se soit levé pour offrir un siège à Jenny. Je l'aurais fait si j'avais été assis. C'est ainsi que nous avons été élevés. Jenny fit semblant de ne pas remarquer le manque de respect et s'assit maladroitement sur la moquette.
https://bit.ly/3dR1S9Z
«Si votre frère dit quelque chose qui ne va pas», dit mon père, «faites-le moi savoir.
Jenny avait des liaisons de voyage difficiles et fut l'une des dernières à arriver le soir du premier jour de la ré-union. Grand-mère, une bigote de la vieille école, a tenu à l'ignorer. Les tantes et les oncles, pour la plupart, étaient polis mais froids. Les cousins l'ont évitée et ont ricané derrière son dos. Elle faisait un front courageux, mais parfois je pouvais voir la douleur dans ses yeux.
Mon cœur lui faisait mal. Je voulais être le seul à aller la voir et à la serrer dans mes bras et à lui dire que la famille l'aimait toujours, même si elle était psychotiquement bizarre à ce sujet. Je voulais mais je ne pouvais pas. La dernière fois que je l'avais vue, c'était quatre ans plus tôt pendant la phase d'écrasement et la regarder me ramena maintenant à cette époque. J'ai trouvé que j'avais toujours peur de l'approcher. Ou peut-être que j'avais juste peur d'être à nouveau ridiculisé par Howie et le gang.
Le matin du deuxième jour, un groupe de cousins était assis dans le sous-sol de grand-mère, tirant sur la merde. J'aimais ne plus être le petit compagnon. À présent, j'étais le plus grand, même un pouce deux au-delà de Howie. J'étais l'athlète la plus accomplie de la famille élargie et j'avais développé un peu de fanfaronnade et de confiance. À part Howie, les cousins plus âgés me traitaient maintenant avec déférence.
Soudain, Jenny est arrivée. Je me souviens à quel point elle était belle dans un joli short en jean et un débardeur rose, ses jambes longues et magnifiques.
https://hotmyfreecams.com
Beau oui; à mes yeux, probablement la plus belle fille du monde. Mais aussi triste et anxieux et dans la douleur. Mes cousins verraient sûrement cela et lui ouvriraient leurs bras et leur cœur.
"Hé les gars," dit-elle avec une gaieté forcée. J'ai admiré son courage. Il y eut quelques grognements en réponse, puis tout le monde se redressa, attendant comme toujours de suivre l'exemple de Howie. J'étais debout, appuyé contre un mur, tandis que Howie et la plupart des autres étaient assis sur des chaises. J'ai été surpris qu'aucun des cousins masculins ne se soit levé pour offrir un siège à Jenny. Je l'aurais fait si j'avais été assis. C'est ainsi que nous avons été élevés. Jenny fit semblant de ne pas remarquer le manque de respect et s'assit maladroitement sur la moquette.
