Pour l’utilisateur suisse que je suis, il manque cependant un élément dans les fiches : la Commune d’origine.
En Suisse, lors de l’établissement des actes d’état-civil, on utilise pas la mention marginale lors de la survenance de nouveaux faits, mais tous les faits d’état-civil sont inscrits dans le Registre des familles tenu dans chaque office d’état-civil.
Chaque famille, chaque individu, a donc une Commune d’Origine (en allemand: Bürgergemeinde) qui reste toujours la même, et qui n’a rien à voir avec sa commune de domicile ou celle où s’est déroulé le fait d’état-civil, mais qui a été établie à un moment éloigné dans l’histoire (17ème-18ème-etc.) à une époque où l’ancêtre habitait bien cette commune (en quelque sorte, la commune de base) .
Avec les déplacements des gens au fil des années, de nos jours de nombreuses personnes n’ont plus aucun lien avec leur commune d’origine, si ce n’est justement que l’inscription des faits d’état-civil les concernant y sont toujours enregistrés.
Celéa comprend aussi les faits d'état-civil passés à l'étranger pour autant qu'ils aient été portés à la connaissance des autorités suisses, soit directement en Europe par les autorités d'état-civil des communes concernées, soit via les familles, soit via les Consulats et Ambassades de Suisse à l'étranger.
Ces registres des familles dans les communes d'origine sont donc en fait la base légale ou l’équivalent du livret de famille qui est aussi établi en Suisse lors des mariages. Ces registres permettent donc de remonter facilement les lignées en tous cas jusque au milieu du 19ème siècle.
En Suisse, lors de l’établissement des actes d’état-civil, on utilise pas la mention marginale lors de la survenance de nouveaux faits, mais tous les faits d’état-civil sont inscrits dans le Registre des familles tenu dans chaque office d’état-civil.
Chaque famille, chaque individu, a donc une Commune d’Origine (en allemand: Bürgergemeinde) qui reste toujours la même, et qui n’a rien à voir avec sa commune de domicile ou celle où s’est déroulé le fait d’état-civil, mais qui a été établie à un moment éloigné dans l’histoire (17ème-18ème-etc.) à une époque où l’ancêtre habitait bien cette commune (en quelque sorte, la commune de base) .
Avec les déplacements des gens au fil des années, de nos jours de nombreuses personnes n’ont plus aucun lien avec leur commune d’origine, si ce n’est justement que l’inscription des faits d’état-civil les concernant y sont toujours enregistrés.
Celéa comprend aussi les faits d'état-civil passés à l'étranger pour autant qu'ils aient été portés à la connaissance des autorités suisses, soit directement en Europe par les autorités d'état-civil des communes concernées, soit via les familles, soit via les Consulats et Ambassades de Suisse à l'étranger.
Ces registres des familles dans les communes d'origine sont donc en fait la base légale ou l’équivalent du livret de famille qui est aussi établi en Suisse lors des mariages. Ces registres permettent donc de remonter facilement les lignées en tous cas jusque au milieu du 19ème siècle.