Avec les aînés

Rencontrer les plus anciens de la famille est toujours une occasion de leur demander de parler de leur enfance, des membres de la famille que l’on n’a pas connus, ou que l’on a connus très différemment.
On peut également les faire parler sur les histoires de famille, celles que leurs grands-parents ont pu leur raconter, et qui sont transmises de génération en génération.
Ils ont connu une vie sans le téléphone ni la télévision, pour certains même avant que l’électricité ne fasse son apparition dans toutes les maisons : comment vivait-on à cette époque ? Nos aînés peuvent nous l’apprendre, en nous racontant leurs souvenirs, de façon bien plus vivante qu’un cours d’histoire ou une lecture.

Avec les plus jeunes

Et si l’on fait partie des doyens de la famille, c’est notre rôle que de remplir cette mission de transmission de la mémoire. De la même façon que nous avons commencé à apprendre l’histoire familiale sur les genoux de nos grands-parents, c’est à notre tour de veiller à ce que les plus jeunes développent ce goût de l’histoire familiale et comprennent le sens de la famille

    Raconter des histoires

Les retrouvailles familiales, c’est le moment idéal pour raconter ce que l’on connaît aux plus jeunes, en leur contant les anecdotes de l’histoire familiale qui nous ont été transmises par nos parents et nos aïeux, ou celles qui ont marqué notre propre enfance.
Et si certains de nos récits se mêlent à l’histoire de France, c’est une façon de leur rendre celle-ci plus vivante.

    Un travail collaboratif

Transmettre les histoires du passé n’est pas la seule façon de faire de la généalogie avec ses proches. On peut faire de la généalogie de façon collaborative, en les guidant et en leur apprenant comment faire pour retracer la vie d’un ancêtre dont on a pu leur raconter l’histoire.
Pourquoi ne pas les faire chercher un ancêtre poilu sur le site du Grand Mémorial, puis reconstituer la famille de ce dernier, et les aider à faire le lien entre cette personne et eux, en reconstruisant l’arbre généalogique.
Au lieu d’un nom, cette personne sera quelqu’un de bien plus concret pour eux, et la Grande Guerre ne sera plus uniquement qu’un évènement historique, mais un fait concret lié à leur histoire familiale.